Si vous mangez du miel et de l’ail sur un estomac vide pendant 7 jours, Voici ce qui arrivera à votre corps

Publié le 2 février 2020

Il y a des périodes où notre corps est plus confronté à des menaces bactériennes ou virales que d’habitude, il est par conséquent important de faire en sorte que notre système immunitaire soit toujours à même de protéger notre organisme de ce qui peut l’abîmer ou du moins altérer son fonctionnement. L’ail et le miel constituent deux bons moyens d’y parvenir.

Relever le goût et agrémenter de nombreuses recettes de cuisine à travers le monde, ce ne sont définitivement pas les seules raisons pour lesquelles le miel et l’ail sont si prisés un peu partout autour du globe. Or, ce qu’ils recèlent en termes de bienfaits pour l’organisme dépasse de loin ce que beaucoup auraient tendance à imaginer. 

Les bienfaits du miel

Il s’agit, sans la moindre exagération d’une merveille de la nature. Le miel se démarque non seulement par son goût sucré caractéristique, mais aussi par les nombreuses vertus thérapeutiques qu’il comporte comme son efficacité contre de nombreux types de bactéries, ou contre les radicaux libres grâce à sa richesse en agents antioxydants tels que les flavonoïdes ou encore les acides ascorbiques et phénoliques. Son efficacité contre les bactéries a d’ailleurs été officiellement reconnue pour la première fois par un scientifique néerlandais du nom de Dr. Van Ketel.

Le miel est même très sollicité dans des formes anciennes de médecine, comme l’ayurvédique par exemple où il est depuis toujours considéré comme un remède à toute épreuve contre divers types d’affections cardiaques, cutanées, pulmonaires ou digestives. 

Et s’il y a bien un aliment capable de remplacer le sucre haut la main, c’est bien le miel biologique. Ce n’est d’ailleurs pas un hasard s’il est toujours aussi suggéré par les experts en nutrition car en plus de servir de substitut au sucre, il permet une bien meilleure gestion du poids grâce à la réduction du taux de glucose présent dans le sang. Il est même fortement conseillé lorsqu’il s’agit de réduire la sensibilité du corps à des agents allergènes comme les pollens par exemple, à condition qu’il soit consommé sur une base quotidienne. 

Les bienfaits de l’ail

Cette plante issue de la famille des Liliacées est une réelle mine d’or pour n’importe qui chercherait à avoir une alimentation saine. L’ail regorge de minéraux comme le fer, le phosphore, le calcium et le sélénium ainsi que les vitamines B. Il présente aussi des propriétés antibactériennes, antivirales, antioxydantes, antifongiques, purifiantes pour l’ensemble de notre système immunitaire, comme le suggère cette étude.

La prévention de la hausse du taux de cholestérol dans le sang et de la pression artérielle font aussi partie des bienfaits de l’ail, à condition que son utilisation soit quotidienne mais raisonnable, à jeun de préférence. Il agit également sur les voies respiratoires en les nettoyant et en les aidant à se débarrasser d’affections aussi fréquentes que l’asthme, la bronchite, la toux, la pneumonie ou encore la congestion pulmonaire. 

Mais le pouvoir de l’ail ne s’arrête pas là, puisqu’il touche aussi le système digestif en facilitant son fonctionnement ainsi que celui de la vessie et du foie.

Une recette pour renforcer les défenses de votre corps

Afin de tirer profit de ce que ces aliments ont à offrir, voici un remède à consommer sur un estomac vide, seulement une fois par jour pour une durée d’une semaine. 

Ingrédients

–         Une cuillère à soupe de miel biologique

–         Une gousse d’ail et demie 

Il vous suffira de hacher votre ail finement, de le mélanger avec le miel et votre petit remède fortifiant est prêt !

Mises en garde :

–         En raison de ses effets anticoagulants, la consommation d’ail avant ou après une intervention chirurgicale est absolument à éviter. Il en va de même pour les personnes présentant des allergies. De même que l’ail consommé à jeun est déconseillé si vous avez un estomac fragile. 

–         Il est déconseillé de faire consommer du miel à un enfant âgé de moins d’un an, à cause des risques de botulisme infantile que cela comporte.