Un chinois trempe une souris vivante dans la sauce avant de la manger
Certaines pratiques sont terriblement cruelles. S’il peut être d’usage en Chine de consommer des rongeurs, les coutumes culinaires peuvent être abominables quand elles impliquent la souffrance odieuse de nos amis les bêtes. Ces images horrifiantes en sont la preuve en pixels. Il est insoutenable de voir un homme se sustenter de souris vivantes d’autant plus que ce type de repas est interdit dans l’Empire du Milieu. Malheureusement, certains clients peuvent se procurer ce « met » en arrière-cuisine et les voir se nourrir de ces animaux est simplement abominable. Ce récit révoltant tout droit venu de Chine nous est relayé par nos confrères du site britannique Daily Mail.
Si certaines cultures peuvent se nourrir de viandes qui paraissent absolument sordides en Europe, il existe des actes abominables qui se caractérisent par une cruauté innommable envers les animaux. C’est le cas pour cet homme qui trempe une souris vivante dans la sauce avant de la manger toute crue. Immortalisés par des images, ces clichés peuvent offenser le public.
Des images horrifiantes
Un homme asiatique a été montré en train de manger une souris vivante. Pour l’avaler, il a trempé le rongeur dans une sauce alors qu’elle couinait désespérément. Cette photo terrifiante exposait le client d’un restaurant en train d’attraper la bête pendant qu’elle s’agitait de crainte. Ce repas révoltant accompagné de tranches de tomates serait considéré comme un met délicat dans la province chinoise de Guadgong. Bien qu’il soit interdit par le gouvernement, ce repas peut être trouvé dans les arrière restaurants.
Une pratique innommable
Ce met serait monstrueusement nommée « Les trois couinements » [ndlr : en référence aux trois souris]. Cela consiste à tromper les rongeurs dans la sauce avant de s’en nourrir. Le lieu du forfait n’a pas été identifié bien que le client aurait été entendu en train de prononcer le mot « souris ». Ces images révoltantes suivent les clichés d’une femme en train de se nourrir de chauve-souris dans un restaurant chic qui sont devenues virales. Une autre vidéo montre des dîneurs mangeant de la soupe avec l’animal nocturne.
Une épidémie mortelle
La nouvelle épidémie du coronavirus a émergé dans la ville chinoise de Wuhan le mois dernier. Responsable de la mort de 41 personnes, elle a causé la fermeture des frontières de nombreuses villes. Les causes du virus à l’origine de la pneumonie n’ont pas encore été clairement établies. Les scientifiques émettent l’hypothèse que cette maladie pourrait tirer son origine des serpents ou des chauve-souris. Dans la tradition chinoise, ces animaux nocturnes guériraient des maladies telles que la toux, la malaria ou la gonorrhée.
Une tradition ancestrale
Selon la coutume, les matières fécales de ces bêtes pourraient soigner les maladies oculaires et cette hypothèse est appuyée par l’ouvrage médical écrit par le praticien Ben Gao Gang Mu. La première vidéo virale relayée par Apple Daily montre une jeune femme en train de manger une chauve-souris avec des baguettes et se nourrissant des mamelles de l’animal nocturne. En mandarin, nous pouvons entendre de la bouche d’un autre client : « Mange la viande mais ne te nourris pas de la peau ». Il ajoute ensuite : « Tu devrais essayer la viande de son dos ». Des propos qui glacent le sang à l’heure où ce braconnage et cette consommation est interdite dans l’Empire du Milieu.
Indignation collective
Une seconde vidéo virale a également émergé sur la toile. Une influenceuse chinoise s’est délectée d’une soupe de chauve-souris. Commentant l’expérience, les internautes se sont grandement indignés. « Est-ce que les gens peuvent arrêter de manger des animaux sauvages ? » peut-on lire sur les réseaux. En 2015, une vidéo d’une souris à peine née a été montrée en pleine préparation. Le document montrait le rongeur macérant dans la sauce. La scène a eu lieu dans la même province chinoise, où cette pratique est légion dans les arrières cours de restaurants.
Chauve-souris : une piste explicative du coronavirus ?
Certaines conclusions imputent l’existence du nouveau coronavirus à ces animaux nocturnes. Relayées par des médias comme Le Monde, ces assertions s’appuient sur la généalogie du virus responsable de l’épidémie qui a dépassé les frontières chinoises. Les scientifiques ont identifié ce dernier comme l’origine de la maladie qui entraine une pneumonie. Le coronavirus, d’origine animale, est transmissible entre humains.