« Adieu petit ange » Une petite fille meurt après avoir été jetée par sa mère contre un mur
La violence domestique revêt des conséquences dévastatrices. Et cette histoire en est un des récits les plus poignants. Une mère cruelle tue sa fille après l’avoir supposément jetée contre un mur. A 21 ans seulement, cette criminelle aurait fait preuve de la plus grande ignominie. Ce récit affligeant nous est relayé par nos confrères du site britannique The Sun. Histoire d’un crime abominable sur une petite fille innocente.
Tiffany Tate a donné la vie à une petite fille avant de l’ôter sans aucun scrupule. Cette dernière aurait jeté Holly Roe, un bébé de huit semaines contre le mur. Ce coup lui a été fatal puisqu’il lui aurait brisé les côtes et causé une violente hémorragie au cerveau. Ce crime a été perpétré avec le silence de son petit ami.
Une mort soudaine
La petite Holly est morte à l’hôpital après que les ambulanciers aient été contactés dans cette maison de l’horreur. Ils découvrent alors un bébé en arrêt cardiaque, inanimé. Une autopsie a été réalisée sur la victime et les résultats sont glaçants : hémorragie cérébrale et côtes cassées.
Le bébé était décédé des suites d’un traumatisme crânien. Mais les parents continuent à nier ce terrible meurtre. Michael Roe, le compagnon de la jeune mère explique qu’il l’aurait entendue dire que sa fille la frustrait tellement qu’elle voulait la jeter contre un mur. Une violence époustouflante qui aura eu raison de la vie de la petite fille.
Des blessures meurtrières
Et le bilan médical est d’une atrocité déconcertante. 12 fractures des côtes à l’avant et à l’arrière, une hémorragie au cerveau, à la colonne vertébrale et aux deux yeux. Des blessures qui vaudront à la petite Holly à cause de la cruauté de sa propre mère. Une proche de la criminelle a déclaré à la cour que cette dernière « n’arrivait pas à se lier avec sa fille ». Une absence d’amour qui causera cette violence innommable à l’égard d’un bébé à peine né.
Des violences multiples
Il a été révélé lors du procès que certaines des blessures identifiées sur le corps de Holly dataient probablement de plusieurs semaines. Selon les informations relayées par The Sun, la petite fille vomissait souvent par le nez et la bouche et n’arrivait plus à s’alimenter. Et les propos de la criminelle sont pétrifiants puisqu’elle aurait révélé aux autorités qu’elle avait un jour découvert sa fille « en train d’aboyer comme un phoque » en rentrant à la maison.
Son petit ami lui aurait fait du bouche-à-bouche avant qu’elle ne commence à respirer à nouveau. Lorsque ce dernier a été interrogé par la police, il a expliqué que la jeune maman avait du mal à s’occuper du bébé. La veille de son décès, le compagnon a précisé que le bébé commençait à rouler des yeux et était très pâle. Des signes annonciateurs d’une agonie lente et doucereuse.
Des conclusions médicales glaçantes
Lors de l’expertise, les médecins découvrent des crimes effroyables et absolument prémédités. Le professeur Saraj a expliqué que la configuration et l’étendu des blessures sont celles d’un traumatisme crânien non accidentel et violent. Des conclusions qui confirment la piste de violences domestiques répétées. Le docteur Jo McPartland a quant à lui trouvé des saignements dans les yeux et particulièrement dans les nerfs optiques. Les deux accusés continuent à nier le meurtre ou la causalité avec la mort de la petite Holly. Pour l’heure, l’enquête se poursuit pour prouver leur responsabilité dans ce crime d’une atrocité rare.
Les violences domestiques : des conséquences dévastatrices
Perpétrer des coups et des violences sur un enfant a des effets psychologiques dévastateurs sur ce dernier. Toxicomanie, mutilations, dépression sont autant de conséquences qui peuvent toucher la victime de ce quotidien dont certains parents sont responsables. A terme, ce scénario peut se répéter avec leurs propres petits-enfants car ils auront appris un modèle parental basé sur la peur et l’angoisse. Les violences verbales peuvent également causer d’importants traumatismes qui peuvent amenuiser la confiance de l’enfant envers les adultes, et à plus forte raison des autres. Il est indispensable de veiller à être responsable quant à ses actes et ses paroles car ils ont des stigmates définitifs.