Déodorants : La vérité que l’on vous cache
Lorsque la température augmente dans le corps, des milliers de glandes sudoripares commencent à perler et se préparant à refroidir le corps. En moyenne, une personne possède environ 2,6 millions de glandes sudoripares – un thermostat intégré. Ce système est constitué de glandes eccrines et apocrines.
Les glandes eccrines sont les plus nombreuses. Elles sont situées dans des endroits comme le front, les mains et les pieds. Ces glandes sont activées à la naissance et ne sécrètent pas des protéines ou d’acides gras.
Quant aux glandes apocrines, elles sécrètent des protéines et des acides gras. Elles se trouvent dans la région génitale et les aisselles. Elles deviennent actives pendant la puberté.
La sueur provenant des deux types de glandes n’a pas d’odeur. L’odeur corporelle provient des bactéries vivant sur la peau. Les bactéries métabolisent les protéines et les acides gras sécrétés par les glandes eccrines, produisant finalement une odeur. Cette odeur peut être influencée par le type de bactéries vivant sur la peau et le type de nourriture qu’une personne mange.
Cette odeur, souvent désagréable, est la raison pour laquelle les déodorants et les antisudorifiques sont devenus des produits de soins populaires. Beaucoup de gens ont leur marque préférée, mais ne sont pas conscients que de nombreux antisudorifiques sont, en fait, des médicaments qui modifient la physiologie du corps.
Ces antisudorifiques contiennent un ingrédient actif qui est scientifiquement validé pour accélérer le vieillissement du cerveau et causer la maladie d’Alzheimer. Ce produit est souvent frotté contre les glandes sudoripares et absorbé par le corps.
Déodorants contre anti transpirants
Les déodorants fonctionnent en tuant les bactéries qui vivent sur la peau. Ils sont souvent parfumés de sorte à fournir aux consommateurs un parfum agréable. Les déodorants commerciaux contiennent souvent des parfums chimiques absorbés par la peau et qui perturbent le système endocrinien.
Les déodorants utilisent les huiles essentielles naturelles d’origine végétale comme une alternative aux produits chimiques. Beaucoup de ces huiles essentielles donnent au déodorant plus de puissance, car elles possèdent des propriétés antibactériennes qui aident à chasser les bactéries au niveau des glandes sudoripares responsables de la mauvaise odeur.
Les anti sudorifiques, pour leur part, travaillent d’une manière très différente. Ils agissent en bloquant les glandes sudoripares et en arrêtant la sécrétion des protéines et d’acides gras. La plupart des anti-transpirants sont fabriqués avec des sels d’aluminium tels que le chlorure d’aluminium, le chlorhydrate d’aluminium ou des composés du zirconium d’aluminium.
Comme les anti sudorifiques changent la physiologie du corps, ils sont effectivement considérés comme un médicament en vente libre
Exposition chronique à l’aluminium et neurotoxicité
En 1986, l’aluminium a été reconnu comme une neurotoxine aux États-Unis. L’EPA, agence de protection de l’environnement, a établi une zone de sécurité pour les sels d’aluminium dans l’eau potable publique, qui est de 0,05 à 0,2 milligrammes par litre. En France, la DGS (la direction générale de la santé) a saisi les agences de sécurité sanitaire afin d’évaluer les risques de l’aluminium pour la population en particulier ceux relatifs à la maladie d’Alzheimer.
Dans une publication de Neurotoxicology en 2010, des chercheurs du Département de médecine de l’Université de Californie ont montré comment l’exposition prolongée aux sels d’aluminium provoque la neurotoxicité. L’aluminium a été administré à de faibles concentrations, à des animaux, afin de déterminer l’accélération du vieillissement du cerveau. Ils ont découvert que les sels d’aluminium peuvent augmenter les niveaux de l’activation des cellules gliales, des cytokines inflammatoires et des protéines précurseurs d’amyloïde dans le cerveau.
Ces augmentations sont toutes des indicatifs d’accélération du vieillissement cérébral. Les sels d’aluminium ont augmenté efficacement l’inflammation du cerveau, symptôme qu’on trouve chez les patients d’Alzheimer.
En France, après administration d’aluminium à dose répétée, des effets neurotoxiques ainsi que des effets sur les testicules, l’embryon et le développement du système nerveux sont observés chez l’animal.
Les effets chez l’Homme, neurotoxicité, atteinte osseuse et anémie sont connus chez les insuffisants rénaux exposés de façon chronique à l’aluminium.
Fait étonnant, les sels d’aluminium, tels que l’aluminium zirconium, sont commercialisés en tant que principe actif dans de nombreux anti sudorifiques commerciaux. L’aluminium zirconium représente 15% ou plus de la plupart des anti-transpirants vendus dans le commerce ! L’étiquette avertit souvent les consommateurs que le produit peut causer des dommages aux reins aussi.