5 choses qui arrivent à votre corps lorsque vous faites la sieste

Publié le 13 février 2017

Après une matinée bien remplie et sans plage de repos, il vous est sans doute possible de trouver un moment pour une petite sieste. Si vous le faites chaque jour, vous serez surpris de découvrir combien elle est bénéfique au corps et à l’esprit. On ne parle pas de siestes de 3 ou 4 heures dont vous vous réveilleriez groggy, mais de plages de sommeil de 30 à 90 minutes au moins 3 fois par semaine, si possible chaque jour.

Vous ferez du sport plus facilement.

La sieste permet de compenser l’énergie que vous avez dépensée pendant la matinée et le début de l’après-midi. Si bien qu’au moment de vous rendre à la salle de sport, en fin de journée, vous serez au top de vos capacités motrices.

Vous réduisez vos envies de grignotage.

Vous l’avez forcément remarqué : lorsque vous n’avez pas votre comptant de sommeil, vous grignotez sans arrêt pour avoir tout de même assez d’énergie. Plutôt que de vous ruer sur un paquet de chips ou une barre chocolatée pour garder les yeux ouverts, il est préférable pour votre ligne et votre santé en général de faire un petit somme.

Vous réduisez votre niveau de stress.

Quand vous manquez de sommeil, votre corps produit davantage de cortisol, lequel a pour effet d’augmenter votre niveau de stress. Le meilleur moyen de le faire baisser ? Une petite sieste qui vous fera voir de nouveau la vie en rose.

C’est bon pour votre cœur.

On sait déjà que le manque de sommeil est un facteur majeur de maladies cardiovasculaires. Or, une étude réalisée par l’Université de Harvard a montré qu’on réduit son risque de développer celles-ci grâce à la pratique de la sieste qui permet de compenser des nuits trop courtes.

Cela améliore le fonctionnement de votre cerveau.

En faisant fonctionner votre cerveau à plein régime de tôt le matin à tard le soir, vous risquer de le surmener. Une sieste de 60 à 90 minutes permet de le reposer pour en optimiser le fonctionnement. Une étude montre ainsi qu’elle permet d’améliorer les performances de votre cerveau jusqu’à 24 heures plus tard. On ne parle pas pour rien de sommeil « réparateur ».