Les personnes qui consomment du fromage vivent plus longtemps d’après les chercheurs
Qui dit fromage, dit matières grasses ? Pas forcément ! Ce produit laitier prisé par les consommateurs du monde entier et véritable emblème de la gastronomie française est riche en calcium, en phosphore, en protéines, glucides. C’est autant de vitamines indispensables au bon fonctionnement de l’organisme humain et est un fin protecteur contre les maladies métaboliques ou cardio-vasculaires.
Avec à son actif, plus d’une centaine de variétés, le fromage, souvent perçu comme un ennemi des régimes alimentaires serait au contraire un allié de poids pour le bon fonctionnement de l’organisme humain. Produit laitier contenant une quantité élevée en calcium, nécessaire à la construction et fortification des os, celui-ci détient également, un apport conséquent de nombreuses vitamines, nutriments et minéraux.
La consommation de produits laitiers en raison de leur taux élevé en graisses saturés est connue pour accroitre le risque de décès liés aux maladies coronariennes, cérébro-vasculaires et au risque de développer des cancers.
Cependant, une étude présentée lors du congrès annuel 2018 de la Société Européenne de Cardiologie, tend à démontrer le contraire en arguant que les produits laitiers protégeraient à la fois de la mortalité totale et de la mortalité cérébro-vasculaire.
Une étude révèle les bienfaits du fromage sur la santé
Une étude menée par le Professeur Maciej Banach de l’université de Lodzen Pologne et présentée lors du congrès annuel 2018 de la Société Européenne de Cardiologie, suggère après divers analyses, comparaisons et évaluations, que la consommation de tous les produits laitiers dont le fromage, était associée à un risque de mortalité total inférieur de 2%. De plus, la consommation de fromage était affiliée à un risque de mortalité total inférieur de 8%. Le risque global de décès, quelle qu’en soit la cause, était 15% plus élevé chez les personnes qui consommaient moins de glucides dont sont dotés les produits laitiers et en particulier le fromage.
Comme l’indique le Professeur Maciej Banach, les régimes pauvres en glucides devraient être évités au profit de ceux avec une teneur plus élevée. Les consommateurs à faible teneur en glucides étant plus à même de succomber d’une maladie coronarienne, plus susceptibles de mourir d’une maladie vasculaire cérébrale ou même d’un cancer.
Une information que le centre de recherche et d’information nutritionnelles Français (CERIN) confirme en alléguant que la consommation de produits laitiers et en particulier ceux pauvres en matières grasses et y compris le fromage, est affiliée à une réduction du risque d’accident cardio-vasculaire cérébral de 13 %.
Vous voulez préservez votre santé et augmenter votre apport nutritionnel en glucides, vitamines, calcium et minéraux et prévenir les risques de maladies coronariennes ou cardio-vasculaires ? Découvrez notre salade à base de camembert, feta et mozzarella, fromages pauvres en calories et ennemis du cholestérol.
Recette santé à base de fromage
Ingrédients :
– 4 tomates mûres
– 2 boules de mozzarella
– 100 g de fêta
– 50 g de camembert
– 15 brins de ciboulette.
– 1 concombre.
– 4 cuillères à soupe d’huile d’olive.
– 2 cuillères à soupe de crème de vinaigre balsamique.
– Sel, poivre.
Lavez les tomates et coupez-les en rondelles. Egouttez la mozzarella et
coupez-la en tranches tout comme le camembert. Pelez le concombre, coupez-le dans le sens de la longueur et ôtez le centre et coupez le en tranches fines.
Disposez les tomates sur une assiette, insérez des tranches de mozzarella. Parsemez des dés de concombres, de morceaux de feta et de camembert. Ciselez la ciboulette et disposez sur les tomates. Enfin, arrosez d’huile d’olive et de crème de vinaigre balsamique. Salez, poivrez et dégustez.
Cette recette de salade fraicheur à base de feta, mozzarella et camembert vous apportera une excellente source de phosphore, glucides, vitamines et protéines.
*La consommation de certains aliments peut être déconseillée dans certains cas et en particulier pendant la grossesse. Consultez impérativement votre médecin en cas de doutes. Limitez-vous à une portion journalière de fromage de l’ordre de 900 mg en moyenne pour un adulte.