Une mère stérile laisse son compagnon violer sa propre fille de 10 ans afin “d’emprunter” son ventre pour avoir un bébé
Il est communément admis que lorsqu’on met un enfant au monde, c’est pour le protéger face aux difficultés de la vie et l’aider à grandir en toute sécurité. Mais cette mère sans cœur n’avait certainement pas le même entendement... Après s’être retrouvée stérile des suites d’une opération, elle n’a pas hésité à laisser sa propre fille de 10 ans se faire violer par son compagnon et ce, dans le but d’avoir un deuxième enfant. Cette histoire sordide a été relayée par The Scottish Sun.
La cruauté de ce fait divers peut heurter la sensibilité des plus aguerris. Découvrez cette histoire aux mœurs douteuses, où l’égoïsme et la bestialité des actes d’une maman l’ont menée à laisser son partenaire violer sa propre fille de 10 ans. Un récit poignant qui lève le voile sur un crime sans nom.
Un couple qui voulait avoir un enfant à tout prix
Les faits se seraient déroulés dans une ferme située à Jalisco, au Mexique, révèle The Scottish Sun. Angelica, la mère, vivait en concubinage avec son amant de l’époque et sa fille de 10 ans.
Sujette à une envie obsédante d’avoir un petit garçon avec son partenaire, elle ne pouvait pourtant plus avoir d’enfants. Selon le rapport du tribunal, Angelica aurait subi quelques années auparavant une intervention chirurgicale qui l’avait rendue stérile.
Confrontée à l’impossibilité de concevoir un autre enfant, combinée à une volonté maladive de donner un fils à son compagnon, Angelica aurait demandé l’impensable à sa propre fille de 10 ans : si elle pouvait lui « emprunter son ventre », afin que son concubin lui donne ce fils tant attendu.
Violée après son refus
Face au refus catégorique de la petite fille, le partenaire aurait alors suggéré de la forcer à avoir un rapport sexuel avec lui. Une « requête de viol » qu’Angelica aurait acceptée, selon les informations révélées par les tribunaux compétents chargés de cette effroyable histoire.
La petite fille s’est confiée par la suite à sa tante qui, fort heureusement, a eu le courage de dénoncer cet acte de barbarie aux autorités.
Ce drame s’est produit en 2014, et ce n’est que 6 ans plus tard que les malfaiteurs ont été arrêtés et incarcérés en attendant le procès. Angelica fait face aujourd’hui, à des accusations de sévices sexuels aggravés et de violence familiale.
Le compagnon, dont le nom et l’âge n’ont pas encore été divulgués, a également été mis en détention selon un communiqué officiel du parquet.
Agressions sexuelles, quelles conséquences à l’âge adulte ?
La maltraitance sur enfant est définie comme tout type d’abus ou de négligence qui nuit au bien-être de l’enfant. Selon une publication de l’Organisation Mondiale de la Santé à ce sujet, ce fléau concerne le monde entier. On considère d’ailleurs qu’un homme sur 13 et une femme sur 5 ont été victimes de violences sexuelles durant l’enfance.
En outre, cette maltraitance peut avoir des répercussions profondes sur les victimes à l’âge adulte, comprenant des troubles psychiques, comportementaux ou physiques, notamment :
- Une propension à subir ou à commettre des actes violents
- L’obésité
- Le tabagisme
- Une dépression
- Des comportements sexuels à risques
- L’alcoolisme et/ou la toxicomanie
- Des grossesses non désirées
Selon une enquête de l’association Mémoire traumatique et victimologie relayée par Europe 1 en 2015, les répercussions du viol durant l’enfance impliquent également un stress post-traumatique, une amnésie ou des tentatives de suicide, entre autres conséquences, qui peuvent se prolonger dans le temps, jusqu’à 50 ans après l’agression.