« Adieu petits anges » Un couple sans cœur laisse leurs bébés jumeaux seuls pendant 4 jours pour aller faire la fête
Ils ont tué leur enfant. Découvrez l’histoire de ce couple sans cœur qui a laissé leurs bébés jumeaux de 4 mois affamés alors qu’ils sont sortis faire la fête pendant plusieurs jours. Ce récit sordide a été relayé par 7 News Australia.
Sortis pendant 4 jours faire la fête, ce couple a laissé leurs enfants affamés seuls chez eux. Ils ont ainsi tué un de leurs bébés jumeaux alors que l’autre est en soins intensifs. Cette histoire raconte l’enfer de ces innocentes victimes de parents démissionnaires et meurtriers.
Des bébés cadavériques
Ce couple sans cœur a quitté son domicile en laissant derrière eux deux bébés de 16 semaines. Margarita Yanayeva et son petit ami sont allés faire la fête pendant quatre jours. Affamé, l’un des jumeaux a plongé dans le coma. Il a été retrouvé par sa grand-mère qui a parlé d’enfants « gravement émaciés ». Sa sœur jumelle a été emmenée en soins intensifs aux urgences de l’hôpital de la région russe du Kamtchatka. Une scène horrible à laquelle a dû assister la parente dévastée par cette perte douloureuse. Comme ces parents maltraitants, cette belle-mère a affamé un enfant et l’a enfermé dans un placard. Heureusement, il échappera à la mort.
La mère aurait menti
Selon les rapports relayés par 7 News, l’accusée, une jeune femme de 23 ans aurait dit à ses amis que ses enfants avaient été hospitalisés car ils étaient contaminés par le Covid-19. Alexey, son petit ami a été complice de les avoir abandonnés tout seuls pour faire la fête 4 jours. Suite à cela, le petit garçon de 16 semaines est mort de faim et sa sœur est très affaiblie.
Selon une source de l’enquête, la mère n’a pas organisé de garde de ses enfants par un tiers. « Ils les ont soumis à la faim, les ont privés d’hygiène et les ont laissés dans un état déplorable » a déclaré l’agent selon un article du Mirror.
C’est la grand-mère des jumeaux qui s’inquiétait lorsqu’elle n’a pas pu contacter sa fille, ce qui l’a poussée à appeler la police. Le couple risque aujourd’hui jusqu’à 20 ans de prison pour cet infanticide mais aussi pour manquement aux devoirs parentaux. Pour cette famille, il s’agissait d’un crime au premier degré dont l’histoire est bouleversante.
Des cas similaires de maltraitance dans le monde entier
Relayée par nos confrères du Parisien, l’histoire de Gabin est similaire à celle du bébé de Margarita, en Russie. Les photos de cet enfant de 22 mois ont choqué car il était émacié et pesait 5,8 kgs, à savoir le poids d’un bébé de 3 mois. Il est mort le 7 juin 2013 à Aubusson. Le médecin légiste parlait d’un état de maigreur et de saleté extrême à tel point que son pénis était nécrosé. La victime a été affamée et privée des soins les plus élémentaires.
L’enfer qu’a vécu la petite Marina a également bouleversé. Selon un autre article du quotidien, son père avait dit qu’elle avait été enlevée près d’un McDonald’s mais dix ans plus tard, la police découvre le pire. Ses parents ont été condamné à 30 ans d’emprisonnement pour avoir torturé leur fille jusqu’à entraîner son décès.
La fillette a été affamée, battue à coups de poings, enfermée dans une cave bâillonnée et nue. Ses bourreaux l’ont même plongée dans des bains glacés et l’ont forcée à porter des lourdes charges jusqu’à ce que ses pieds se déforment. Une série de sévices qui vaudra à cette enfant innocente de mourir en silence.
En Californie, c’est aussi l’effroi car la police a trouvé treize frère et sœurs séquestrés et affamés par leurs parents. Seule une fillette est parvenue à s’échapper. Selon les autorités dont les propos ont été relayés par un article du Dauphiné libéré, les victimes ont été retrouvées « enchaînées à leur lit dans le noir et dans une odeur pestilentielle ». La torture d’un petit garçon a même inspiré une série sur Netflix. Privé de nourriture, il était forcé de manger des excréments de chat.
La violence à l’encontre des enfants, un fléau dévastateur
La maltraitance et la violence à l’encontre des enfants comprennent toutes les formes de violences subies jusqu’à l’âge de 18 ans. Celles-ci peuvent être commises par des étrangers, des partenaires amoureux ou dans les cas les plus tragiques, leurs propres parents.
Selon l’Organisation Mondiale de la Santé, ce sont près d’un milliard d’enfants âgés de 2 à 17 ans qui ont été victimes de violences émotionnelles, physiques, sexuelles ou encore de négligences au cours de cette dernière année. Ces traitements cruels peuvent avoir des répercussions dévastatrices sur la santé et le bien-être de l’enfant et durer toute leur vie d’adulte.
Si vous êtes victime ou témoin d’une situation impliquant la maltraitance d’un enfant en France, contactez le 119, un numéro gratuit pour l’enfance en danger.