« Ma maternité a été dévastatrice » affirme Mariska Hargitay, la star de la série New York Police Judiciaire sur TF1
La maternité est loin d’être un fleuve tranquille et c’est souvent plus tortueux lorsqu’il s’agit d’adopter. Ce défi semé d’embûches n’a pas été de tout repos pour Mariska Hargitay, la star de la série populaire New York : Unité spéciale. Derrière les écrans, c’est une maman qui a livré un long combat pour avoir une famille épanouie. Ce témoignage émouvant sur la parentalité nous est relayé par nos confrères du site LA DEPECHE.
Si la belle Mariska Hargitay a aujourd’hui deux adorables enfants qu’elle a été heureuse d’adopter, le chemin était difficile. Pour la maman célèbre, cela a été une épreuve « dévastatrice ». Et pour cause, au moment où elle a voulu accueillir son premier fils, la mère biologique a soudainement changé d’avis. La femme courageuse a dû se battre pour aspirer au bonheur d’avoir un enfant.
« L’adoption n’est pas faite pour les cœurs faibles »
Après quelques années, Mariska Hargitay a souhaité revenir sur son expérience déchirante en tant que maman adoptive. Elle donne là une véritable leçon de courage pour les personnes qui souhaitent avoir un enfant. « Je ne vais pas vous mentir, on est passés par des moments très durs.
L’adoption n’est pas faite pour les cœurs faibles » avertit la femme qui a enduré un chemin douloureux pour aujourd’hui avoir deux enfants. Elle confie aux journalistes que son rêve le plus cher a été d’avoir une famille nombreuse et qu’elle se battait avec son époux pour réaliser ce souhait vital. Un besoin qui l’a menée vers un long combat et donné de l’espoir aux autres mamans qui souhaitent adopter.
Une épreuve douloureuse
Après avoir réussi à fonder une famille, Mariska revient sur un traumatisme parental. Lorsqu’elle a voulu adopter son premier enfant, la mère biologique du petit garçon a changé d’avis après l’accouchement. Une adversité destructrice pour la star qui se réjouissait d’accueillir un petit garçon. Elle et son époux ont eu le cœur brisé d’essuyer ce refus maternel. Seulement, la maman était heureuse d’assister à cette naissance tant attendue pour le couple.
« Je me suis sentie honorée de faire partie du processus. Ce fut une profonde bénédiction d’avoir participé à la création d’une union que Dieu m’avait choisie » s’émeut la femme courageuse. Puis d’ajouter : « Je ne veux même pas dire que j’ai aidé mais pour une raison quelconque, j’étais là. Je faisais partie d’une décision qui était belle et sacrée ». Une foi inébranlable qui l’a aidée à surmonter cet obstacle pour un parent adoptif.
Une fin heureuse
Heureusement, le couple ne s’est pas découragé et a continué à être persévérant. Quelques années plus tard, ils ont accueilli Amaya et Andrew et forment aujourd’hui une famille heureuse. Mariska est enfin heureuse et a accompli son rêve d’être une maman épanouie.
La star internationale doit son bonheur au soutien de Peter Hermann, son mari depuis 2004, qu’elle a rencontré sur le plateau de la série dont elle est un personnage. Après avoir mis sa carrière entre parenthèse, elle est aujourd’hui une actrice et mère comblée. Une source d’inspiration pour les mamans aspirantes à l’adoption, un processus parfois délicat.
Adopter : un processus difficile
Si l’histoire de Mariska témoigne d’un parcours difficile vers l’adoption, cette histoire est également partagée par d’autres parents. Ces « échecs » peuvent parfois être véritablement douloureux pour ces derniers. Lorsque ces procédures s’éternisent, certains peuvent se décourager et renoncer face à une administration parfois complexe. La patience et le courage est donc de mise pour être apte à cette parentalité particulière avec des défis délicats.
Parler des parents biologiques de son enfant est également une initiative qui demande beaucoup d’amour et de bienveillance. Seulement, ce chemin est possible pour pouvoir élever un adulte heureux qui surmonte une importante blessure narcissique liée à l’abandon parental. Le retour aux racines est également un chemin important pour la résilience et l’affirmation de soi.