« Le cancer est comme une épée de Damoclès » révélations sur le cancer de Jean-Pierre Pernaut
Alors que Jean-Pierre Pernaut assure se porter comme un charme depuis qu’il s’est remis de son cancer de la prostate, des révélations sur le plateau de Laurent Ruquier inquiètent les fans de la coqueluche du JT de 13 Heures de TF1. Le cancer dont a souffert Jean-Pierre Pernaut serait-il comparable à une épée de Damoclès ? C’est ce qu’aurait insinué Franz-Olivier Giesbert sans faire référence au présentateur lors de son passage sur le plateau de Laurent Ruquier.
Nous le pensions totalement rétabli de son cancer, mais Jean-Pierre Pernaut n’est peut-être pas sorti d’affaire. Selon Franz-Olivier Giesbert, le cancer serait comparable à une épée de Damoclès et les personnes qui en ont souffert par le passé risquent de rechuter à tout moment.
Révélations sur le plateau de Laurent Ruquier
Invité de l’émission On n’est pas couché de Laurent Ruquier, l’écrivain Franz-Olivier Giesbert y fait la promotion de son ouvrage le plus récent, Dernier été, un roman qui raconte l’histoire d’un personnage atteint d’un cancer. Si l’auteur ne fait pas directement référence à Jean-Pierre Pernault, les informations qu’il donne sur la maladie inquiètent les fans de l’animateur vedette de tf1, lui-même en rémission.
Survivant d’un cancer, Franz-Olivier Giesbert souligne que cette maladie est capable de revenir, même plusieurs années après une rémission, sous la même forme ou encore sous une forme différente. Par ailleurs, il a précisé que lorsqu’un cancer revient, c’est généralement sous une forme encore plus agressive.
Une bataille éprouvante
La bataille de Jean-Pierre Pernaut contre le cancer est bien connue de ses fans qui n’ont jamais cessé de s’inquiéter pour sa santé malgré sa rémission.
En juillet 2018, la vedette du JT de 13 Heures de TF1 a annoncé souffrir d’un cancer. La maladie silencieuse avait été diagnostiquée par son urologue lors d’un examen de routine.
Fort heureusement, et grâce à un diagnostic établit relativement tôt, le journaliste emblématique a réussi à s’en sortir grâce à une opération in extremis. Pernaut a même annoncé ne pas avoir eu besoin de traitement suite à son opération car cette dernière a permis d’éliminer son cancer.
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La prudence est de rigueur
Face à la pandémie de coronavirus qui ravage aujourd’hui le monde, Jean-Pierre Pernaut a décidé de se montrer prudent et de se confiner comme tous les français. Il a ainsi pris la décision de se retirer provisoirement des plateaux de TF1 le 17 mars, premier jour de confinement en France, et de poursuivre le travail de chez lui.
Dans un entretien avec Le Parisien, il avait expliqué qu’il se sentait encore plus vulnérable face à la Covid-19 en raison de ses antécédents médicaux : “[Avec Thierry Thuillier], on s’est dit : et si, en raison du cancer dont j’ai souffert il y a un an, on me mettait à l’abri quelques temps ? C’est une décision de précaution. J’ai tout simplement décidé de me protéger”, s’est-il confié.
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Par ailleurs, Jean-Pierre Pernaut avait décidé de prolonger son confinement et refusé de revenir sur les plateaux de TF1 malgré la levée du confinement en France le 11 mai. Ce n’est qu’en juin que le journaliste reprendra sa place aux commandes du JT de 13 Heures sur TF1.
Le cancer de la prostate n’est pas une fatalité
Si elles sont détectées à un stade précoce, 95% des tumeurs de la prostate peuvent être guéries. Cependant, aux premiers stades, le cancer de la prostate ne provoque aucun signe particulier et les symptômesapparaissent graduellement au fil du temps :
– Difficultés pour uriner ;
– Présence de sang dans l’urine ou le sperme ;
– Douleurs ou raideurs fréquentes au bas du dos, aux hanches ou haut des cuisses ;
– Changements de fonctionnement urinaire : envies fréquentes, impériosité, besoin de pousser, rétention d’urine, sensations de brûlures ;
– Éjaculations douloureuses, troubles érectiles, etc.
En raison de l’absence de symptômes lors des premiers stades de la maladie, il est impératif d’effectuer des visites de contrôle annuelles chez son médecin traitant à partir de l’âge de 60 ans afin de pouvoir détecter ce cancer suffisamment tôt et faciliter le traitement.