Un garçon de dix ans crée une entreprise de recyclage et fait don de ses bénéfices aux sans abri

Publié le 3 juillet 2024
MAJ le 18 novembre 2024

Ah, les souvenirs d'enfance ! Moi, je passais mon temps libre à écrire des histoires et à explorer les parcs locaux. Mais Vanis Buckholz, lui, à dix ans seulement, avait déjà une tout autre vision de ses journées. Imaginez un peu : il était déjà à la tête d'une entreprise de recyclage dans sa petite ville de Corona del Mar, en Californie. Et laissez-moi vous dire, l'entreprise était florissante !

Un jeune visionnaire prend son envol

Vanis Buckholz

À l’âge incroyable de sept ans, Vanis lançait My ReCycler. Oui, vous avez bien entendu, sept ans ! À cet âge, la plupart d’entre nous apprenons encore à faire du vélo sans roulettes, mais lui, il découvrait déjà l’importance cruciale du recyclage à l’école. C’est là qu’il a eu le déclic : pourquoi ne pas sauver toutes ces choses utilisables qui finissent à la poubelle ?

Les premiers pas d’un entrepreneur

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« Mes parents m’ont promis leur aide, et nous avons commencé par chez nous », raconte Vanis. Imaginez sa surprise devant la montagne de déchets accumulés ! Rapidement, il a étendu ses efforts au-delà du foyer familial, récupérant les matières recyclables de ses proches et voisins, puis de tous ses amis.

De petites roues à grandes actions

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La vie de Vanis à cette époque ressemblait à un petit tourbillon d’activités. Il parcourait la ville en scooter, glanant les déchets négligés sur la plage, dans les rues et les parcs. « Mes parents m’ont toujours enseigné l’importance de ne pas polluer, donc cela a toujours été une partie de nos vies. Mais maintenant, c’était aussi une partie de l’entreprise », explique-t-il avec un enthousiasme contagieux.

Un entrepreneur pas comme les autres

Alors que sa collection de matériaux recyclables s’agrandissait, Vanis a troqué son scooter pour un vélo équipé d’une petite remorque. Son initiative a pris une telle ampleur qu’aujourd’hui. Et, comme si cela ne suffisait pas à décrire l’ambition de ce jeune garçon, il a aussi choisi de donner 25 % de ses bénéfices à Project Hope Alliance, aidant les enfants et les familles sans abri du comté d’Orange.

Faire la différence, une bouteille à la fois

« C’est tellement facile de ne rien faire, mais c’est tellement plus gratifiant de faire une différence ! », dit-il souvent à ses clients. « Chaque petit geste compte. » Voilà un message que Vanis nous lance, à nous tous, qui peut nous inspirer quel que soit notre âge.

En conclusion, l’histoire de Vanis est un vibrant rappel que l’innovation et la volonté de changer le monde peuvent démarrer très tôt. Alors, que faisiez-vous à dix ans ? Merci de m’avoir lu, et n’oubliez jamais que chaque action, aussi petite soit-elle, a un impact !