Forcée d’assister au viol de ses petites filles, une mamie meurt de choc
Les abus sexuels exercés à l’égard des enfants peuvent avoir des répercussions dévastatrices sur leur développement. Et lorsqu’un membre de la famille des victimes prend connaissance de ces sévices, il peut subir un traumatisme conséquent. Découvrez l’histoire tragique de cette femme qui meurt du choc engendré par une scène abominable. Selon The Guardian, elle a été forcée à voir ses petites-filles se faire violer.
Selon l’OMS, une personne âgée sur 6 a déjà été sujette à une forme de maltraitance. Souvent, il s’agit de sévices psychologiques qui consistent à adopter des gestes inappropriés qui nuisent à son bien-être. Vulnérables en raison de leur âge avancé, ces personnes peuvent rencontrer de graves problèmes de santé à la suite d’un traumatisme. En Afrique du Sud, une grand-mère de 71 ans est décédée après avoir assisté au viol de ses trois petites-filles.
Elles ont été sorties une par une de la chambre
Une grand-mère a été confrontée à une expérience horrifiante. La femme était chez elle accompagnée de ses petites filles respectivement âgées de 19, 22 et 25 ans. Un homme en cagoule s’est alors introduit dans son domicile, et a sorti les filles une par une de leur chambre pour les violer.
Selon les informations relayées par The Guardian et le rapport de la police en charge de l’enquête, le traumatisme causée par cette épreuve a probablement entraîné l’arrêt cardiaque de la femme âgée. Se sentant impuissante face aux événements, elle a rendu son dernier souffle.
Le porte-parole de la famille a indiqué “nous avons trouvé la grand-mère dans la maison mais elle était déjà morte et nous pensons qu’elle était tellement horrifiée par ce qu’elle a vu dans ces actes pervers que cela a provoqué une crise cardiaque”. Une conclusion assez plausible lorsque l’on connaît l’impact de nos émotions sur le corps humain.
Sa famille est sous le choc de cette violence
Selon les filles violentées, le malfrat n’aurait pas touché la femme âgée. Elles sont donc convaincues que son coeur a lâché suite au traumatisme. Le fils de la grand-mère a exprimé son désarroi face à ces abominations. “C’était un acte vraiment horrible qu’il a fait. Il n’y a pas eu de justice pour mes nièces qui sont dévastées. De plus, le violeur a vu ma mère s’effondrer sous le choc et l’horreur et a continué. Où est l’humanité?”, dénonce-t-il.
Le président Cyril Ramaphosa a souligné la “flambée des meurtres de femmes et d’enfants” dans le pays, indique Metro. “En tant qu’homme, mari et père, je suis consterné par ce qui n’est rien de moins qu’une guerre menée contre les femmes et les enfants dans notre société, et nous devons y faire face de toute urgence”, a-t-il martelé. Une annonce qui vient rappeler les violences subies par les femmes dans de nombreux pays du monde.
La maltraitance peut avoir des conséquences graves chez les personnes âgées
Selon l’OMS, la maltraitance des personnes âgées est un fléau bien réel. Et pour preuve, des témoignages tragiques viennent régulièrement ponctuer notre fil d’actualité, relayant des histoires abominables de maltraitance contre ces personnes vulnérables.
Fragiles, ces personnes peuvent subir des abus financiers, des violences psychologiques, une négligence quant à leurs besoins, des violences physiques et/ou sexuelles. Ces formes de maltraitance peuvent déboucher sur des traumatismes physiques, impliquant des blessures bénignes telles que des égratignures ou un impact beaucoup plus important comme des traumatismes crâniens pouvant entraîner des séquelles permanentes. Des conséquences psychologiques graves telles que l’angoisse et la dépression peuvent de ce fait, résulter de ces gestes violents.
En sus, l’OMS explique qu’en raison de leur vulnérabilité, ces dernières peuvent décéder suite à un traumatisme qui peut sembler bénin. En effet, les répercussions de cette brutalité sont d’autant plus sévères en raison de la fragilité des os des personnes âgées et du temps de convalescence qu’elles nécessitent. De ce fait, il est nécessaire de sensibiliser les professionnels et le grand public face aux conséquences des actes et des gestes de maltraitance à leur égard.