L’employé d’un hôpital meurt en se masturbant devant un film pour adultes

Publié le 26 novembre 2020
MAJ le 17 novembre 2024

Bien que la masturbation reste un tabou pour certaines personnes, il est communément admis que de nombreux hommes ont recours à cette pratique, plus ou moins régulièrement. Dès l’adolescence, un garçon apprend à explorer ses sensations et à se procurer un moment de plaisir en manipulant son sexe. Même si la plupart des femmes ont tendance à en vouloir à leur conjoint lorsqu’il privilégie l’orgasme solitaire, elles se voient parfois contraintes d’accepter ce comportement. Mais la masturbation n’est pas sans risque et peut être fatale dans certains cas. Dans un témoignage publié par le média britannique Mirror, on apprend qu’un employé hospitalier est décédé d’une crise cardiaque en pleine masturbation. 

Selon la Fondation des maladies du cœur et de l’AVC du Canada, l’activité sexuelle engendre une dépense d’énergie similaire à celle d’un exercice physique. En sus, la masturbation est une activité sexuelle à part entière et fait également travailler le cœur parfois de façon intense. Ainsi, les hommes qui se masturbent trop souventpeuvent mettre à mal leur santé et parfois même, risquer leur vie. Selon The Mirror, un employé dans un hôpital meurt à la suite d’une crise cardiaque alors qu’il regardait un film pornographique.

Il se masturbe jusqu’à ce que son coeur s’arrête

Alors qu’il regardait un film pour adultes, un employé hospitalier âgé de 48 ans, dont le nom n’a pas été dévoilé, a subi une mort subite. D’après les médias, le corps nu du défunt a été retrouvé sur une chaise, devant un écran affichant des scènes à caractère pornographique.

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L’hôpital où travaillait le défunt. Source : Mirror

L’homme s’était isolé dans un coin de l’hôpital pour visionner un film pour adultes et se masturber, quand son cœur s’est brusquement arrêté. Selon les agents de police, l’employé était en train de se masturber seul devant son ordinateur lorsqu’il a été victime d’une crise cardiaque qui lui a coûté la vie.

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Un homme qui regarde des videos pornographiques. Source : Mirror

Des sources indiquent que le défunt a été retrouvé par un collègue de travail le lendemain matin. Ainsi, la police n’a identifié aucun suspect et considère que ce décès a été causé par l’acte sexuel de la victime. En outre, l’hôpital a refusé de faire des commentaires à ce sujet.

Une activité sexuelle soutenue peut engendrer une mort subite

La mort subite désigne le décès inattendu d’une personne à priori en bonne santé. Selon une étude scientifique citée par le journal Le Monde, il arrive parfois qu’après une activité sexuelle, une personne meurt brusquement. Après avoir analysé 38000 décès sur une période de 45 ans, le Dr Lena Lange et ses collègues ont recueilli des données d’autopsies. Ainsi, ils ont découvert que 99 cas de décès faisaient suite à un acte sexuel. Seules 8 femmes étaient concernées par cette mort subite, contre 91 hommes. Ces derniers étaient âgés de 57 ans en moyenne. En outre, les auteurs de l’étude ont pu identifier les causes de ces décès liés à l’activité sexuelle :

  • La maladie coronarienne
  • Un infarctus du myocarde
  • Une rupture d’anévrisme aortique
  • Une cardiomyopathie
  • Une myocardite
  • Un arrêt cardiaque

Par ailleurs, les auteurs ont mis en exergue les conditions de ces décès :

  • 30 décès étaient corrélés à une pratique masturbatoire puisque des magazines pornographiques ont été retrouvés près du corps.
  • 34 hommes sont morts après un rapport sexuel avec une prostituée
  • 2 hommes ont perdu la vie en compagnie d’une péripatéticienne
  • 7 hommes sont décédés après avoir eu une relation sexuelle avec leur maîtresse
  • 9 hommes sont morts après un acte sexuel avec leur épouse
  • 5 hommes sont décédés suite à des rapports homosexuels
  • 5 femmes sont mortes après un rapport sexuel avec leur conjoint

De plus, les auteurs ont précisé que 50 décès ont eu lieu pendant le coït ou quelque temps plus tard. En sus, cinq personnes ont succombé à la mort avant même l’acte sexuel, durant les préliminaires.