Les scientifiques affirment que les pénis de grande taille donnent plus d’orgasmes

Publié le 16 octobre 2018
MAJ le 19 novembre 2024

Ce précieux sésame, tant attendu et tant désiré par la femme qu’est l’orgasme, est pour ainsi dire complexe ! Marqué par des sensations physiques intenses, on pourrait le définir comme le point culminant de l'excitation sexuelle et de l’acte sexuel. Chez la femme, au moment de l’orgasme, le clitoris se rétracte et le périnée et les muscles du vagin se contractent à un rythme plus important.

Mais quel facteur essentiel pourrait favoriser l’orgasme à tous les coups ?

L’orgasme qui peut être clitoridien, vaginal ou même les deux, se caractérise par une sorte de feu d’artifice cérébral et corporel impliquant une certaine forme de lâcher prise psychologique et physique provoquée par une intense sensation de plaisir lors d’un rapport sexuel. Mais pas que, ce summum du plaisir permet également de libérer les hormones du bien-être et du plaisir telles les endorphines, l’ocytocine, et le DHEA.

Lorsque l’on passe en revue, tous les moyens possibles et imaginables d’atteindre cette apogée tant désirée, on ne peut s’empêcher de penser à un argument de poids ou plutôt de taille : le pénis.

Une étude révèle l’importance de la taille du pénis pour atteindre l’orgasme

Une étude publiée dans le Journal of Sexual Medicine, suggère que l’orgasme des femmes pendant les rapports pénis-vaginaux est influencé par les caractéristiques du partenaire masculin lié à la condition physique. La taille du pénis est importante pour de nombreuses femmes et la préférence pour un pénis plus long est associée à une plus grande consistance vaginale.

En clair, la probabilité d’atteindre l’orgasme avec un pénis plus long était liée à une fréquence plus élevée de l’orgasme vaginal, mais sans rapport avec les fréquences d’autres comportements sexuels, y compris l’orgasme clitoridien.

En d’autres termes, la taille du pénis intervient bien dans le processus d’atteinte régulière de l’orgasme chez la femme lorsque celui-ci est vaginal. Les femmes qui préfèrent une stimulation vaginale plus profonde sont plus à même d’aboutir à un orgasme vaginal, ce qui est en accord avec l’évolution de l’orgasme vaginal dans le cadre d’un système de choix d’un partenaire sexuel favorisant un pénis légèrement supérieur à la moyenne.

Autrement dit, les femmes ayant une préférence pour un pénis plus long sont beaucoup plus en mesure d’atteindre des orgasmes vaginaux, excluant les orgasmes clitoridiens.

Et tout ceci s’explique simplement par le fait que ce « phénomène » est probablement dû au fait qu’un pénis de plus grande taille stimule une plus grande zone du vagin et de l’utérus, a expliqué Stuart Brody, psychologue à l’Université de l’ouest de l’Écosse et co-auteur de l’étude en question.

Néanmoins, la communauté scientifique n’est pas vraiment unanime sur ce sujet lorsque l’on prend en compte le fait que différentes études aboutissent à des résultats divergents et parfois diamétralement opposés. Parfois la taille compte, parfois elle n’a aucune influence. Surtout lorsque l’on sait que les mensurations moyennes d’un pénis en érection sont comprises entre 12,8 et 14,5 cm. Mensurations largement suffisantes pour satisfaire le plaisir des femmes qui pour rappel, ont un vagin où la zone sensible se situe à moins de 4 cm de son entrée.

Mais outre le possible rôle de la taille du pénis pour faite atteindre l’orgasme à une femme, quels autres facteurs ayant tout autant leur importance et utilité peuvent-ils intervenir ?

Comment atteindre l’orgasme ?

Lorsque l’on sait que l’orgasme fait suite à un état d’excitation intense, on ne peut s’empêcher de penser que la phase des préliminaires est l’une des étapes incontournables de l’acte sexuel permettant d’atteindre le septième ciel.

Par ailleurs, la communication pendant l’acte sexuel a aussi toute son importance.  En effet, parler crûment et utiliser des termes érotiques, est un des fantasmes révélateurs d’un désir de monter en pression et de se stimuler et par la même occasion de pouvoir favoriser l’atteinte de l’orgasme.

L’orgasme connu pour ne pas se commander, doit faire l’objet d’intenses stimulations… Pourquoi ne pas donc tester les multitudes positions qui favorisent cette montée d’extase et boostent des zones érogènes et aussi il faut bien le dire, l’excitation ?

Et pour ceux qui ne seraient pas aussi bien lotis que ces chers Messieurs, objet de l’étude précitée, effectivement tester plusieurs positions avec leurs partenaires favorisant une profonde pénétration, ne pourront que leur apporter la satisfaction et la jouissance tant espérées.