Si vous avez été victime de violence psychologique en tant qu’enfant, vous ferez probablement ces 22 choses à l’âge adulte
Tout ce que vous avez vécu pendant votre enfance sera avec vous pour toujours. Pour ceux qui ont été victime d’un abus émotionnel, cela peut être un cauchemar en grandissant. La violence psychologique affecte la personnalité de toute personne l’ayant subi, elle laisse des séquelles durables dont beaucoup de gens ne se remettent jamais. Si vous avez été victime de violence psychologique lorsque vous étiez enfant, vous ferez probablement ces choses à l'âge adulte !
Quand on pense à la violence, on peut penser en premier lieu à la violence physique. Mais les abus peuvent prendre de nombreuses formes. La violence psychologique est aussi grave que la violence physique, c’est un fardeau terrible à transporter. Beaucoup de gens ne réalisent même pas que cela affecte tous les aspects de leur vie.
Des études montrent qu’une grave violence psychologique peut être aussi puissante qu’une violence physique. Au fil du temps, les deux peuvent contribuer à une faible estime de soi et à la dépression. Vous pouvez également développer de l’anxiété, la douleur chronique, la culpabilité, l’insomnie ou encore le retrait social. Certains chercheurs ont émis l’hypothèse que la violence psychologique pouvait contribuer à l’apparition de maladies telles que le syndrome de fatigue chronique et la fibromyalgie.
La violence psychologique n’est pas normale, mais vos sentiments le sont !
Des victimes se sont confiées et ont partagée l’impact de la violence psychologique sur leur comportement, une liste qui est loin d’être exhaustive.
- Vous ne pouvez pas supporter un conflit. Des bruits soudains et forts déclenchent immédiatement votre instinct de combat.
2. Vous ne pouvez pas accepter les compliments car lorsque vous étiez enfant, les gens ne parlaient que de vos erreurs et de vos défauts.
3. Vous avez du mal à faire vos preuves.
4. Vous pensez que tout ce que vous faites est faux, peu importe ce que les autres disent.
5. Vous vous excusez tout le temps parce que vous vous sentez toujours coupable de quelque chose.
6. Vous vous isolez et utilisez votre maison comme un lieu sûr.
7. Vous ne faites confiance à personne et laissez rarement les autres entrer dans votre vie.
8. Vous êtes indécis parce que vous sentez que tout ce que vous choisirez sera mauvais. Cela vous fait même craindre de devenir parent.
9. Vous êtes à peine vous-même parce que vous ne donnez jamais votre avis par crainte que l’autre ne soit pas d’accord. Quoi qu’il en soit, vous restez neutre.
10. Vous êtes tellement sur la défensive que vous en ressortez froid ou cynique. C’est votre barrière.
11. Vous n’acceptez pas l’amour et croyez qu’il n’est jamais inconditionnel.
12. Vous essayez trop de plaire à quiconque qui a une figure d’autorité.
13. Vous ressentez le besoin d’expliquer en détail tout ce que vous faites et avez du mal à dire non à qui que ce soit.
14. Vous ne demandez pas d’aide parce que vous croyez que quelque chose sera demandé en retour. Pour cette raison, vous avez du mal à avoir un meilleur ami.
15. Vous êtes paranoïaque et avez des problèmes de confiance et d’attachement. Cela conduit à beaucoup de problèmes de relations.
16. Vous êtes trop timide.
17. Vous savez bien cacher votre « mauvais » côté à tout le monde.
18. Vous ne pensez jamais que vous êtes assez bon ou assez intelligent. Peu importe ce que vous accomplissez, cela ne bloquera pas les mots négatifs dans votre tête.
19. Vous avez du mal à accepter le fait qu’il existe des personnes qui vous aiment vraiment et qui tiennent à vous.
20. Vous avez des difficultés à communiquer vos sentiments, ce qui peut augmenter votre niveau d’anxiété et mener à un stress permanent.
21. Vous n’arrivez pas à vous défendre seul, vous avez toujours besoin d’aide.
22. Vous vous blâmez pour pratiquement tout ce qui vous arrive.
Partagez cet article avec vos amis et votre famille ! Et si vous ou une de vos connaissances étiez victime de maltraitance psychologique, exprimez ce que vous ressentez et n’ayez pas peur de demander de l’aide.