Un père de 2 enfants est paralysé après une attaque qui brise son crâne en deux
Avec les inégalités présentes dans nos sociétés il n’est pas rare de voir augmenter le nombre d’agressions et d’attaques. Même les habitants des pays les plus sécurisées n’échappent à des menaces pesantes. Ce père de famille qui a deux enfants se fait agresser de façon cruelle. Après l’attaque le papa est laissé pour mort, paralysé avec le crâne brisé en deux. Le coupable quant à lui ne purge qu’une sentence de deux mois de prison. Voici le récit de cette histoire relayée par nos confrères du journal britannique le Dailymail.
Steven Augustine est le fier papa de deux garçons. Il vit à New York aux États-Unis et a 32 ans. Sa vie va malheureusement tourner au drame lors d’une tentative de vol, le coupable écope d’une sentence de 2 mois de prison.
Une agression d’une violence inouïe
Steven est en route vers sa maison avec ses deux garçons de 7 et 11 ans lorsqu’il est arrêté par une personne qui l’agresse dans le but de le voler. Le papa est loin de se douter de ce qui va lui arriver. Il se fait attaquer et est pour mort par son agresseur. Les conséquences de ce guet-apens sont désastreuses pour Steven : Il est désormais paralysé, son crâne littéralement brisé en deux, les médecins ont dû enlevé la partie gauche de son cerveau.
Donna 57 ans, la maman de Steven, décrit les interactions du papa avec ses deux enfants : « Steven pleure lorsqu’il voit ses fils Michael et Steven Jr., ils ne peuvent à leur tour s’empêcher de pleurer car leur père leur manque ». L’état de Steven ne lui permet de communiquer qu’en clignant des yeux, il ne peut même pas respirer sans l’assistance d’un ventilateur.
2 mois de prison pour le coupable
Après une telle agression Dona avait espéré voir justice. Holley Carnright le procureur qui se charge de cette affaire est quant à lui persuadé que Charles Miles, le coupable, n’avait pas pour intention de sérieusement blesser Steven. Cela entraîne l’impossibilité de le condamner pour ce qui aurait pu être un crime. Dans une interview, le procureur aurait déclaré que les blessures de Steven concordaient avec les dégâts qu’auraient provoqué un coup de poing et une chute en arrière. Charles Miles s’en sort donc avec une sentence de 72 jours de prison.
Une condamnation bien trop clémente selon Dona, qui réfute la théorie du procureur. Selon le Dailymail, le dossier médical de Steven mentionnerait le fait que les blessures de celui-ci ressemblaient à des blessures engendrées par une « batte de baseball ».
Dona est absolument furieuse devant ce qu’elle considère comme une injustice : « Je n’arrive pas à croire ce qui est arrivé, ces gens sont autorisés à faire une chose pareille et s’en sortir indemnes ».
En attendant, les médecins essayé à deux reprises de remplacer le morceau de crâne brisé de Steven grâce à une plaque en métal mais les deux tentatives ont fini par une infection. Une agence gouvernementale New-yorkaise se serait présentée à la famille afin de prendre en charge les frais d’une opération qui pourrait sauver la vie de Steven.
Les agressions continuent de flamber
Dans une enquête menée par la ministère de l’intérieur, il a été révélé une hausse sensible par rapport à l’année précédentes des nombre d’agression en France en 2018. Cela est particulièrement vrai pour les victimes de plus de 15 ans. Le nombre d’agressions par coups et blessures volontaires enregistrées par les forces de l’ordre continue d’augmenter et garde donc la même tendance observée lors des années précédentes. Ce nombre aurait en 2018 dépassé les 240 000 victimes.
Quant au nombre de vols avec violences, la police a rapporté 89 000 infractions dont 81 000 vols violents mais sans armes. Ce phénomène concerne les jeunes de deux manières : d’abord en tant que victimes, puis en tant qu’auteurs présumés : 80 % de ceux-ci ont moins de 30 ans.
Les répercussions d’une agression peuvent être désastreuses autant sur le plan physique que psychologique. Les réactions de stress sont souvent immédiates, allant d’un état d’agitation à état de choc, empêchant la victime d’extérioriser ses émotions. Il est essentiel que les victimes bénéficient d’un soutien psychologique adapté afin de limiter l’incidence et la durée de ces conséquences.