Le soja favorise le cancer de la prostate, accélère le vieillissement, perturbe le système hormonal d’après des études
La fève de soja est une légumineuse originaire d’Asie. Du fait de sa haute teneur en protéines, elle est principalement connue du grand public pour remplacer les aliments carnés. Très populaire chez les végétariens, cette graine bon marché n’est pourtant pas seulement utilisée dans la fabrication du lait de soja, de tofu ou de miso : le soja entre en effet dans la composition de plus de 60 % de tous les aliments préparés et de près de 100 % des fast-foods.
A l’heure où le soja est présent dans la majorité des plats préparés à tel point qu’il devient difficile de l’éviter, où près de 77 % du soja cultivé dans le monde est génétiquement modifié et où les organismes de santé vantent toujours ses prétendus bienfaits, des chercheurs du monde entier se penchent sur les effets de cette légumineuse sur notre santé, au point où l’on dispose actuellement d’une liste de plus de 170 études qui démontrent toutes sa nocivité et dont les conclusions sont toutes plus alarmantes les unes que les autres.
Les dangers du soja pour votre santé
Voici dix exemples qui montrent que le soja n’est pas l’aliment sain et bon pour la santé que vous imaginiez.
1. Le soja entrave le bon fonctionnement de la thyroïde car il contient de puissants agents antithyroïdiens, les phyto œstrogènes, qui mènent à l’hypothyroïdie lorsqu’ils sont ingérés régulièrement. Une étude japonaise de 1991 a démontré que la consommation quotidienne par des adultes en bonne santé de deux cuillers à soupe de fèves de soja supprimait la fonction thyroïdienne et provoquait des symptômes tels que malaises, constipation et somnolence ainsi que l’apparition de goitres.
2. Il perturbe le système hormonal des femmes et leur cycle menstruel. Une étude britannique a mis en évidence qu’une consommation quotidienne de lait ou de farine de soja avait le même effet sur le cycle menstruel des femmes que les médicaments anti-œstrogènes administrés aux femmes souffrant d’un cancer du sein.
3. Il provoque le cancer du sein. Il a été démontré dans une étude que les œstrogènes présents dans les aliments stimulent la prolifération des cellules cancéreuses du sein. Or le soja contient une quantité élevée de phyto-œstrogènes.
4. Il favorise le cancer de la prostate. Une étude finlandaise a mis en évidence un lien entre une exposition du fœtus aux œstrogènes alimentaires du régime de la mère tels que présents dans le soja, et le cancer de la prostate survenant plus tard au cours de la vie.
5. Il diminue la féminité et accélère la puberté chez les filles. D’après une étude menée par des chercheurs en Caroline du Nord, les phyto-œstrogènes du soja accélèrent la puberté chez des jeunes femelles de rongeurs. D’autre part, une autre étude a montré qu’une exposition précoce au soja chez des fillettes de quatre ans était associée à un comportement de jeu moins féminin.
6. Il baisse le taux de testostérone chez les hommes. Selon une étude réalisée par des chercheurs de l’Université du New Jersey, les hommes qui avaient consommé de la poudre de protéine pendant les 28 jours de l’expérience présentaient une diminution des taux de testostérone de l’ordre de 19 %.
7. Il cause une diminution de la virilité chez les hommes. Des chercheurs de l’École de médecine Johns Hopkins aux États-Unis ont prouvé à travers une étude que l’exposition au cours de la période de différenciation sexuelle à la génistéine, un perturbateur endocrinien présent dans le soja, causait une démasculinisation se traduisant par des anomalies phénotypiques et comportementales chez les souris mâles.
8. Il entraîne une baisse de l’immunité. Une étude menée aux Etats-Unis a montré une baisse de l’immunité chez les bébés nourris avec des préparations pour nourrissons au soja en comparaison avec les bébés nourris avec du lait maternel ou du lait maternisé sans soja.
9. Il accélère le vieillissement cérébral. Des chercheurs de l’Institut national sur le vieillissement aux Etats-Unis ont mené une étude à travers laquelle ils ont mis en évidence un lien entre la consommation du tofu au cours de la quarantaine et des performances cognitives médiocres ainsi qu’une atrophie cérébrale plus tard.
10. Il augmente le risque de souffrir de troubles cardiovasculaires. Une équipe de chercheurs chinois est parvenue grâce à une étude à mettre en évidence la relation entre la consommation de soja et le risque d’être atteint de troubles cardiovasculaires et d’être sujet à un accident vasculaire cérébral ou à la maladie coronarienne.
Important :
Le soja fermenté consommé en petites quantités comme c’est le cas dans les pays asiatiques n’est pas nocif. En effet, ces derniers avant de le consommer, le font fermenter pour neutraliser les toxines contenues dans ses graines. Le soja qu’ils utilisent n’est pas non plus génétiquement modifié.