Arrêter les saignements avec cette épice

Publié le 1 juillet 2015
MAJ le 19 novembre 2024

Si vous vous coupez, l’un des meilleurs remèdes est, que vous le croyiez ou non, le piment de Cayenne ! Il peut être appliqué sur des blessures ouvertes ou même pris oralement dans le cas d’un saignement de nez.

Saignements de nez, coupures profondes et même hémorragies artérielles seront stoppés en l’espace de quelques secondes. Le piment de Cayenne permet aux coupures de coaguler en un temps record.

Comment arrêter de saigner en 10 secondes
Il suffit de saupoudrer votre coupure, éraflure ou abrasion, de piment de Cayenne bio. Contrairement à ce que vous pourriez penser, cela ne vous brûlera pas. Ou alors, vous pouvez confectionner un cataplasme de piment de Cayenne et en envelopper votre blessure, afin de garantir une guérison sans danger et minimiser la cicatrice. Vous pouvez empêcher une blessure interne de saigner en buvant une tasse d’eau chaude avec une cuillère à café de piment de Cayenne.

Le célèbre herboriste, Dr.John Christopher, surnommé Docteur Cayenne, et aujourd’hui décédé, avait recommandé dans son ouvrage School of Natural Healing : «Versez une cuillère à café de piment de Cayenne dans un verre d’eau très chaude, buvez, comptez jusqu’à 10 et le saignement s’arrêtera, qu’il soit interne ou externe. »

Les autres bienfaits du piment de Cayenne

Le piment de Cayenne est riche en capsaïcine, qui lui donne le piquant. Il contient aussi des vitamines B6, C et E, du potassium, du manganèse et des flavonoïdes, ce qui lui donne ses propriétés antioxydantes.

Les douleurs et inflammations
Le piment de Cayenne est excellent pour soulager les douleurs dues aux inflammations. Il agit en désactivant un neurotransmetteur appelé substance P, insensibilisant ainsi les nerfs qui signalent la douleur. Il est notamment efficace pour les douleurs musculaires et les nuques raides.

Bénéfique contre les caillots sanguins
Le piment de Cayenne aide aussi à réduire l’arthérosclérose, encourage l’activité fibrinolytique et prévient les facteurs qui conduisent à la formation de caillots, réduisant ainsi les risques de crise cardiaque et d’AVC.